Ecris ici le caractère de ton perso ... Leïla est assez gentille, joueuse avec les gens qu’elle apprécie, mais facilement susceptible et très peu attentive à ce qui l’entoure. Elle est un peu fugueuse car elle déteste être enfermée et ses parents s’en inquiètent beaucoup. Froide avec les inconnus et méfiante, elle sait ce défendre mais certains moments de faiblesses lui font perdre son masque d’indifférence qu’elle peut avoir, en particulier quand on parle de la forêt car depuis qu’elle sait qu’elle avait disparue étant petite et qu’on l’a retrouvée dedans et que en plus cette forêt est devenue une forêt maléfique pour les gens de la ville de BlackRiver, elle porte une curiosité in consumable et est près à tout pour comprendre ce qui lui est arrivée avant et les mystères qui se cachent dans cette mystérieuse forêt.

Ecris ici le physique de ton perso ... Leïla est assez grande et fine. Ses yeux sont d’un vert assez clair. Ses longs cheveux lui tombent jusqu'à la poitrine, raide et d’une couleur brune très foncés avec des reflets clairs. Elle une peau un peu pâle et des petite pommettes rouges. Elle fait aussi un peu garçon manqué, à cause de sont caractère qui varie selon les individus mes ses gouts vestimentaires reste celle d’une fille de son âge.

Ecris ici l'histoire de ton perso ... Leïla est née dans la ville de BlackRiver et n’a jamais eu de problèmes, sa famille était gentille et attentive, elle avait de bon amis et était une petite fille pleine d’énergie qui souriait toujours, jusqu’à ce jour. La nuit était tombée et les habitants étaient tous rentré chez eux. Les lumières avaient été éteintes et un silence de mort régnait maintenant dans la ville après le couvre feu. Tous le monde dormait ou plutôt, tous le monde était sensé dormir car oui, trois petits chenapans avaient décidés de partirent en vadrouillent en cette belle nuit où la pleine lune illuminait le ciel. Une dispute avait éclatée au sein du petit groupe car une amie à Leïla, Caroline, avait décidée de rebrousser le chemin tellement elle avait peur et cela agaçait fortement les deux autres, surtout Maxence, petit gaillard robuste qui avait soi-disant peur de rien.
-Caro, on y est presque, la rassura Leïla. Plus que deux pas et on est dans la forêt.
-Mais…je ne veux pas y aller, la forêt est dangereuse la nuit.
-Ne t’inquiète pas, on sera là et puis c’est excitant d’aller en forêt en pleine nuit mais bon, si t’es vraiment trop peureuse tu peux partir et on ira chanter ta magnifique lâcheté à l’école, avait « gentiment » rétorqué le garçon du groupe.
-Je ne suis pas peureuse !

Maxence avait réussit à la faire changer d’avis et c’est avec un grand sourire qu’il c’était remit à marcher en direction de la forêt, suivit des filles qui marchaient avec prudence derrière lui. Arrivé à l’entré de leur destination, le garçon s’exclama content près à y aller mais Leïla qui sentait la peur monter, l’arrêta.
-Attend Maxence…
-Quoi ? Demanda le petit garçon en soupirant d’impatiente. Qu’est ce qu’y a ?
-On devrait peu être pas y aller en faite.
-Quoi ? Toi aussi tu ne vas pas t’y mettre, tu ne vas pas te dégonfler si près du but ?!
-Nan mais… je pense qu’on en a fait assez, on peut y aller maintenant.
-Assez ? On n’est même pas entré dans la forêt !

La jeune noiraude allait lui répondre mais un cri de leur amie lui coupa la parole. Ils se tournèrent vers celle-ci et la virent par terre en train de trembloter, pointant quelque chose dans la forêt.
-Là…Là !
Les deux enfants allèrent la voir et regardèrent la direction pointé.
-Il y a rien là, lâcha fatigué Maxence.
-Si ! Je vous jure ! Il y avait deux yeux rouges qui me fixaient !
-N’essaye pas de nous faire peur.
-Mais c’est vrai !

Soudain un gémissement bizarre s’éleva des feuillages pas loin et les trois enfants sursautèrent.
-Vous voyez ! Moi je ne reste pas ! Je veux partir !

Le garçon de la bande avait froncé les sourcils, légèrement tremblotant et était entré dans la forêt. Leïla avait crié.
-Maxence ! Nan !
-Vous allez voir ! Je vais vous montrez qu’il n’y a rien à craindre.

Il c’était exprimé avec un sourire qui se voulait rassurant mais qui exprimait sa propre peur. Il avait fait trois pas dans la forêt et s’était retourné vers les filles, un peu rassuré.
-Vous voyez, il n’y a rien à crai…

Il n’avait finit sa phrase que deux yeux rouges étaient apparut derrière lui et la seconde d’après il avait disparut. Caroline avait crié d’effroi et Leïla c’était contenté de rester figée, étant devenue très pâle. Son amie se prenait la tête entre les mains en répétant des mots intelligibles et Leïla essaya de se rassurée. Maxence leur faisait surement une blague. Elle cria son nom plusieurs fois et s’éloignait petit à petit de l’autre jeune fille pour s’approcher lieu de disparition de son ami. Soudain un deuxième cri l’avait attiré et l’instant où elle c’était retourné, c’était son autre amie qui avait disparut. Des sueurs froides coulaient sur son dos, elle avait peur. Un souffle apparut soudain sur sa nuque, elle n’osa pas se retourner et quand elle y jeta un léger coup d’œil, des yeux d’un rouge pourpre la scrutaient méchamment. Elle n’eut pas le temps de crier qu’elle se fit attraper, puis le noir.
Plusieurs jours après elle fut retrouvée dans la forêt avec ces amis, en bonne santé. Elle semblait avoir tout oublié comme les deux autres et à partir de ce jour, à part des cauchemars des plus bizarres, sa vie était redevenue normale jusqu'à ses 19ans. Sa famille était toujours normale, voir légèrement inquiète et ses amis pareils mais, elle, avait changé et c’était lancé sur un autre chemin plus dangereux qui pourrait lui expliquer ce qu’elle avait oublié.